Vous savez où l’on va encore. Il y a tellement à dire et à montrer, alors encore une série retour sur l’été ou un peu avant.
Alors encore merci pour votre fidélité et bonne visite !
Vous savez où l’on va encore. Il y a tellement à dire et à montrer, alors encore une série retour sur l’été ou un peu avant.
Alors encore merci pour votre fidélité et bonne visite !
Panne d’inspiration?
Manque un petit quelque chose pour partager avec vous ?
Peut-être…
Mais surtout une vie trop remplie sur de nombreux plans tant professionnel que personnel.
De plus mon statut va changer à relativement brève échéance et il faut mentalement et matériellement s’organiser… Je vous donnerai des détails bientôt car cela s’annonce passionnant …
Me voici donc de retour parmi vous pour le plus grand plaisir.
Je ne manquerai pas d’aller admirer plus attentivement vos productions et vous montrer que je les apprécie toujours énormément par un petit commentaire, vous qui êtes en général bien plus prolixes que moi (particulièrement ces derniers temps !). Je vous ferai également des rétrospectives de quelques unes de mes escapades.
Je vous rassure, j’ai quand même pris le temps d’apprécier le printemps, cette saison éclatante et ces fleurs magnifiques. Je parle bien sur des sauvages.
A certains endroits de la France c’est plutôt la sécheresse qui menace mais en Haute Savoie, cela a été bien arrosé alors la nature en profite !
En montagne, les fleurs de pissenlit colorent encore les prairies de leur jaune alors que dans les vallées, elles sont déjà en graine.
Les gentianes bleues aussi sont de la partie.
Et les orchidées alors?
Certaines plus rares aussi sont écloses depuis quelques temps déjà mais je n’avais pas eu le temps d’aller les admirer. Je veux parler des sabots de Vénus.
En voici donc une petite série.
Allez encore une, tout en vous souhaitant une excellente fin de semaine pleines d’étincelles et de lumière.
Nous sommes émerveillés par la diversité et l’harmonie des couleurs des paysages, des roches, des arbres, des animaux …et des fleurs.
Nombreuses couleurs ont des rôles importants dans la nature pour la protection et la vie dans l’environnement.
En tant que photographe, c’est bien entendu l’aspect esthétique des choses qui nous entourent auquel nous sommes sensibles.
Surtout avec cette magnifique saison qui pointe ses magnifiques couleurs.
Voyons ensemble, quelques illustrations pour la couleur violette.
Le violet des pensées des Alpes.
Le violet des globulaires (Globularia nudicaulis)
Le violet qui tourne franchement au fushia, des cyclamens.
Le violet des gentianes champêtres, bien présentes cette année.
Il y a aussi le violet des ancolies, qui peut même s’éclaircir mais aussi virer au bleu ;-)…
Ne pas oublier celui des chardons qui piquent mais bien courtisés.
Le violet qui commence enfin à murir, des grosses prunes.
Impossible d’être exhaustif, il y a une multitude de violets !
Alors pour finir en note gourmande, celui dont on se lèche les doigts, celui des Myrtilles !
Enfin l’été nous fait quelques grâces, alors profitons en pour explorer de nouveaux sommets.
Direction les Aravis.
Une fois sortie de la forêt, on atteint les hauteurs et ce n’est que beau calcaire dans ce massif.
Mais il y a encore quelques névés nichés au creux des rochers austères.
Les bouquetins parviennent à trouver quelques étendues bien herbues, surtout cette année.
Nous avons pu admirer un beau mâle sur ce domaine s’étendant entre 2100 et 2470m, dont le nom est » le pré aux chèvres ».
Et quelques fleurs qui résistent aux températures déjà fraiches de la nuit, comme les délicates gentianes champêtres (Gentianella campestris).
Un beau circuit tout près de la Pointe Percée (2752m) le plus haut sommet des Aravis.
Une petite série prise avant la dégradation météo pour vous faire savoir que les lys ou lis martagon (Lilium martagon) sont là et bien là !
Nous sommes en pleine saison.
Cette année, ils sont bien développés avec de nombreuses inflorescences.
C’est toujours un plaisir d’admirer cette fleur rare et protégée bien que très présente dans certaines zones.
Le lys martagon pousse dans de nombreux styles de milieu; il domine les graminées des alpages mais on le trouve aussi sous les hêtres.
Il s’est raréfié car il a été ramassé en grande quantité pour sa beauté mais également pour son bulbe qui aurait quelques vertus.
J’adore voir ses tépales se retourner vers l’extérieur à partir de l’état de bourgeon pour en faire jaillir le pistil et les étamines pour la pollinisation.